Les perles de culture et les perles fines
Les perles fines encore appelés perles naturelles sont issus des huîtres aux lèvres d’argent tout comme par celles aux lèvres noires. Dans ce dernier cas, elles sont moins fréquentes et elles sont les fruits d’intenses recherches. Nous obtenons les perles fines le plus souvent dans les huîtres sauvages.
Quant aux perles de culture initiée au japon à la fin du dix-neuvième (19 e) siècle par son père fondateur Kokichi Mikimoto en 1907, nous assistons à la production de la première perle de culture qui par la suite malgré les coups qu’elle a subi, elle a connu un essor fulgurant.
Cinq années après sa découverte, elles ont été disqualifiées du titre de perle par les tribunaux de paris et de Londres. Les japonais étaient sur le choc total pouvant même croire qu’ils s’agissaient d’un conflit culturel ou racial. Certains chercheurs sont par la suite allés à la source en étudiant leur composition chimique et ont conclu qu’elles ne sont pas opposées à celles des perles naturelles ou fines. Cette émeute qu’ont rencontrée les perles de culture leur a valu leur popularité. Après les avoir acquittés de cette trouble pensée, elles ont été connues comme propriété japonaise.
La nouvelle s’est répandue et les techniques de sa conception aussi ! La philippine et l’Australie ont emboités le pas au japon. L’armée des perles s’est ainsi accrue en nombre et en force mettant à l’abri de nouvelles polémiques les perles de culture. Elles ont donc connu une hausse de prix expliquée par le coût de la main d’œuvre sollicitée pour les produire.
Vous ne manquerez pas de retrouver au sein des bijoux modernes, un assemblage de perle de culture et de perle fine. Les perles d’Indonésie sont aussi à inclure.